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  • Matérialistes franà§ais du XVIIIe siècle : La Mettrie, Helvétius, d’Holbach

    Jean-Marie Lardic
    Le XVIIIe siècle est l’à¢ge d’or du matérialisme franà§ais. Qu’il prolonge la doctrine de la nécessité des événements de Hobbes (d’Holbach), qu’il retourne la théorie des animaux machines contre Descartes pour penser l’homme machine (La Mettrie), qu’il renouvelle l’idée d’une science de l’homme à partir d’une critique de l’intériorité subjective (Helvétius) ou invente de nouveaux modèles (Diderot), on retrouve souvent dans les Å“uvres les plus importantes la tentative de fournir une explication homogène de (...)

  • Les ombres de la Place Royale

    Vincent Jullien
    Roman historique et philosophique
    1613. Lors d’une fàªte près de Brest, René Descartes, génial élève des jésuites à La Flèche, se prend d’amitié pour deux enfants du pays, la toute jeune baronne Marie de Kerlech et Gilbert Le Person, un va-nu-pieds particulièrement doué. Ces liens, nourris par une passion commune pour le savoir, ne se démentiront jamais, depuis la Bretagne jusqu’à Paris qui, en cette première moitié du XVIIe siècle, règne sans partage sur les sciences et la philosophie. Introduit dans le (...)

  • L’Impersonnage

    Rencontre avec Gérard Tessier

    Philippe Beck
    Philippe Beck a publié jusqu’ici treize livres de poésie. En 1996 paraà®t le premier, Garde-manche hypocrite, dont Jude Stéfan dit qu’il fera date. Bientà´t, l’Å“uvre est tenue pour très importante et bouleversante : « Une fulguration s’est produite qui porte le nom de Philippe Beck » (Pascal Boulanger). En màªme temps, Jean-Luc Nancy remarque qu’il s’agit ici de « tenir la langue et [de] tenir à la tenue de la langue ». « Monographie dialoguée », L’Impersonnage est le premier livre consacré au travail de (...)

  • Il nous faut bien un concept de Dieu

    Cyrille Michon
    Nous pensons à Dieu et nous en parlons en faisant usage de divers concepts. Ces concepts sont-ils corrects ? On peut entendre par là deux choses. La première : ces concepts sont-ils cohérents, est-il possible que quelque chose leur corresponde (ou tombe sous eux, ou les satisfasse, etc.) – comme quelque chose peut correspondre au concept de fromage, mais rien au concept de catalogue de tous les catalogues qui ne se mentionnent pas eux-màªmes ? La seconde : ces concepts trouvent-ils une application (...)

  • L’intuition est à la déduction comme la géométrie est à l’algèbre

    Vincent Jullien
    ReÌ sumeÌ :
    La meÌ thode carteÌ sienne est organiseÌ e autour de deux concepts, celui d’intuition et celui de deÌ duction. Les matheÌ matiques carteÌ siennes sont organiseÌ es autour de deux concepts, « les quelques lignes droites de la geÌ omeÌ trie  » et les signes treÌ€s simples de l’algeÌ€bre. Il s’agit ici de soutenir qu’il y a une analogie eÌ troite entre ces deux couples de concepts, soit que « la deÌ duction est aÌ€ l’intuition ce quel’algeÌ€bre est aÌ€ la geÌ omeÌ trie ». On verra alors si ce programme (...)

  • Philosophie naturelle et mathématiques au XVIIe siècle

    Vincent Jullien
    Ce livre présente six études concernant la philosophie naturelle et six la géométrie au XVIIe siècle.
    Le XVIIe siècle est une période idéale pour examiner les relations d’interdépendance entre la philosophie et les sciences car les crises et bouleversements des systèmes et des théories sont particulièrement intenses à l’à¢ge classique ; cette circonstance offre donc d’immenses possibilités pour l’étude de ces rapports. Tel est l’axe commun des douze chapitres de ce volume. Plusieurs des thèmes (...)

  • La dialectique réflexive : Lignes fondamentales d’une ontologie du soi

    André Stanguennec
    La dialectique réflexive est une ontologie de la finitude qui se constitue dans la forme d’un cercle spéculatif. En sa ligne réflexive ascendante, d’abord, cette finitude se pose en explicitant la présupposition de l’infinité qui lui donne son sens. Puis, en un mouvement descendant, la dialectique de l’infini, construite analogiquement dans la forme de la finitude, y pose le contenu de cette finitude comme son existence finie, éternel corrélat de sa propre existence infinie, en une co-existence (...)

  • La vertu du savant : le système des renvois dans l’article ENCYCLOPEDIE de l’Encyclopédie

    Florent Guénard
    Diderot dans l’article ENCYCLOPEÌ DIE affirme aÌ€ la fois que le systeÌ€me des renvois est « la partie de l’ordre encyclopeÌ dique la plus importante  »1 et qu’il est sans conteste dans l’ouvrage ce qu’il y a de moins reÌ ussi. Car bien renvoyer d’un article aÌ€ l’autre est proprement impossible : « un eÌ diteur ne donnera jamais au tout un certain degreÌ de perfection, s’il n’en posseÌ€de les parties que successivement  »2. Le probleÌ€me pour l’eÌ diteur est bien d’ordonner les articles au fur et aÌ€ (...)

  • Les Stoà¯ciens : La liberté et l’ordre du monde

    Robert Muller
    « Au petit matin, quand il t’en coà »te de te réveiller, aie toute pràªte cette pensée : c’est pour faire Å“uvre d’homme que je m’éveille. Serai-je donc encore de méchante humeur si je m’en vais faire ce pour quoi je suis né et en vue de quoi j’ai été mis dans le monde ? Ou bien est-ce pour rester au chaud, couché dans mes couvertures, que j’ai été formé ? - Mais c’est plus agréable ! - Est-ce donc pour le plaisir que tu es né ? Et, d’une manière générale, es-tu fait pour la passivité ou pour l’action ? Ne (...)

  • Hilary Putnam – La question du réalisme

    Sébastien Motta
    Le texte ci-dessous est le remaniement d’un mémoire, transformé en ouvrage suite à une incitation à le publier. D’autres projets ayant pris par la suite le devant des préoccupations, il n’a finalement jamais été envoyé à une quelconque maison d’édition. Il faut à sa lecture garder en tàªte qu’il a été écrit il y a plus de 13 ans et qu’il ne peut – au mieux – que servir d’introduction très générale ; la littérature en franà§ais sur cet auteur étant assez maigre, il m’a toutefois été suggéré qu’un tel texte (...)

  • Les dispositions en philosophie et en sciences

    Sous la direction de Bruno Gnassounou et Max Kistler

    Bruno Gnassounou
    Depuis l’avènement de la philosophie moderne au XVIIe siècle, les dispositions ont traà®né une réputation sulfureuse : notions obscures, elles faisaient obstacle à une compréhension rationnelle de la nature. Attribuer à l’opium la disposition de faire dormir ou vertu dormitive, ne donne, disait-on, qu’une explication redondante, donc vide, de l’endormissement causé par l’ingestion d’opium. La philosophie des sciences du XXe siècle a ajouté ses propres raisons de bannir les prédicats de disposition (...)

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