lundi 4 février 2013,
Ce texte est issu d’une communication au second colloque de Nantes sur « Sciences modernes et Europe, histoire d’un engendrement mutuel », tenu en février 2013.
Dans le quatrième chapitre de son ouvrage,« La théorie physique, son objet, sa structure », Pierre Duhem reprend un article de 1893 au titre évocateur, « L’à‰cole anglais et les Théories scientifiques ». Il y oppose l’esprit ample mais faible caractéristique du style anglais à l’esprit profond mais étroit caractéristique du style continental. Surtout, il combat l’emploi des modèles de l’école anglaise, qui ne sauraient remplacer la rigueur de la traduction mathématique que l’on rencontre chez les continentaux conséquents. On verra que le modèle peut ne pas àªtre mécanique mais se déguiser sous une parure mathématique peu satisfaisante.
Professeur d’histoire et philosophie des sciences.
Philosophie et sciences à l’à¢ge classique.
à‰pistémologie des sciences de la nature.
Mathématiques à l’à¢ge classique.
Courrier électronique : Vincent Jullien
Préface de Marco Panza
Post-face de l’ouvrage « Ce que peuvent les sciences ».
Notes de cours
M2 LOPHISS (Paris 7, ENS)
Sous la direction de Vincent Jullien
P.U.F. – collection «  Philosophies  »
Sous la direction de V. Jullien, E. Nicolaidis et M. Blay
Histoire d’un engendrement mutuel