lundi 4 février 2013,
Ce texte est issu d’une communication au second colloque de Nantes sur « Sciences modernes et Europe, histoire d’un engendrement mutuel », tenu en février 2013.
Dans le quatrième chapitre de son ouvrage,« La théorie physique, son objet, sa structure », Pierre Duhem reprend un article de 1893 au titre évocateur, « L’à‰cole anglais et les Théories scientifiques ». Il y oppose l’esprit ample mais faible caractéristique du style anglais à l’esprit profond mais étroit caractéristique du style continental. Surtout, il combat l’emploi des modèles de l’école anglaise, qui ne sauraient remplacer la rigueur de la traduction mathématique que l’on rencontre chez les continentaux conséquents. On verra que le modèle peut ne pas àªtre mécanique mais se déguiser sous une parure mathématique peu satisfaisante.
Professeur d’histoire et philosophie des sciences.
Philosophie et sciences à l’à¢ge classique.
à‰pistémologie des sciences de la nature.
Mathématiques à l’à¢ge classique.
Courrier électronique : Vincent Jullien
Chapitre de l’ouvrage « Les Mondes possibles », PUC, printemps 2006
Revue XVIIe siècle, 2006 n°233, 58e année
Un chapitre de « Philosophie naturelle et Géométrie au XVIIe siècle », H. Champion, 2006.
Vincent JULLIEN & André CHARRAK
De 1618 à 1646, une étude de la philosophie naturelle cartésienne