Réédition revue, actualisée et augmentée d’un ouvrage initialement paru en 1994, depuis longtemps épuisé
Essai sur la joie
jeudi 13 janvier 2011,
Préface de Patrick Lang
Nantes, à‰ditions Cécile Defaut, 2011.
152 p.
ISBN  : 978-2-35018-094-6
Les philosophes qui jugent aujourd’hui le bonheur impossible ne font que prolonger un courant qui, de Platon à Kant, en a toujours différé la réalisation. Ils oublient ainsi l’autre courant qui, d’Aristote à Ernst Bloch en passant par Spinoza, avait ouvert une autre voie, en faisant du bonheur la joie en acte  : à la fois premier objet de la pensée et noyau d’une existence heureuse et significative. Ce projet n’est pas irréalisable, encore moins impensable  : la réflexion, quand elle transfigure le désir, met le bonheur à notre portée.
Dans cet ouvrage clair et didactique se nouent tous les grands concepts de la pensée misrahienne - le désir, la liberté, la crise, la réflexion, la conversion, la réciprocité, le préférable. Et ils y font écho aux concepts de la philosophie de l’existence tout entière que sont la subjectivité, l’angoisse, le choix, l’authenticité, le salut.
Directeur du département de philosophie.
Maà®tre de conférences en philosophie et musique.
Spécialités : le concept de valeur dans l’éthique, l’économie, la sociologie ; phénoménologie allemande et franà§aise ; phénoménologie de la musique.
Courrier électronique : Patrick Lang
Centenaire de la naissance de Sergiu Celibidache (1912-1996)
Le Philharmonique de Berlin dans la tourmente de l’après-guerre
sous la direction d’Antoine Grandjean et Laurent Perreau
CNRS à‰ditions, 2012
,Sous la direction d’Antoine Grandjean et de Florent Guénard
Rennes, Presses Universitaires de Rennes, collection « Philosophica », 2012
, , ,Centenaire de la naissance de Sergiu Celibidache (1912-1996)
Textes et entretiens pour une phénoménologie de la musique, réunis et traduits de l’allemand par Hadrien France-Lanord et Patrick Lang.
Patrick Lang
Philosophie du voyage
Meine Erinnerungen an Celibidache
Der groàŸe philharmonische Konflikt in der Berliner Nachkriegszeit