14 mars 2017
La vie des idées
mercredi 15 mars 2017,
« Qui ne dit mot consent ? Pour une nouvelle loi sur le don d’organes »
Selon la nouvelle loi sur le don d’organes, nous devons avoir explicitement refusé d’àªtre donneur pour que nos organes ne soient pas prélevés à notre mort. Mais peut-on ainsi présumer le consentement ? Quels sont les présupposés philosophiques d’une telle loi ?
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Maître de Conférences, Habilité à Diriger des Recherches.
Bioéthique, éthique médicale et clinique, philosophie de la médecine.
Courrier électronique : Guillaume Durand
Pour une médecine minimaliste
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Revue Canadienne de Bioéthique
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